Charbonnerie "El buen trato" : Charbon et charbon de bois, livraisons à domicile, commandes rapides et soignées [texte imprimé] / Miguel Arcangelo ROSCIGNA (1891-1931) ; Gino GATTI . - Bruxelles [Belgique] : Tumult Editions, 2018 . - 69 p. : ill. ; 17 cm. Titre original: Carboneria "El Buen Trato", carbone di legna et pietra, consegne a domicilio, velocità e accuratezza nelle richieste (Italie: Indesiderabili, 2014). Langues : Français ( fre) Langues originales : Italien ( ita)
Catégories : |
ARGENTINE:Histoire ; ILLÉGALISME ; PRISON ; URUGUAY:Histoire
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Résumé : |
"1930, Montevideo, capitale de l’Uruguay. En face de la prison de Punta Carretas, l’anarchiste Gino Gatti et sa famille décident d’ouvrir une charbonnerie : « El Buen Trato ». Les affaires vont pour le mieux. Cependant, en mars 1931, la famille Gatti décide de quitter Montevideo et de déménager en Argentine, pliant boutique après moins d’un an d’activité. Quelques jours après le départ de la famille italienne, les voisins de la dorénavant ex-charbonnerie remarquent des gens qui sortent en courant de l’établissement. Alarmés, ils avertissent la police qui arrive aussitôt et fait irruption sur les lieux. Une fois à l’intérieur, les agents mettent bien peu de temps à comprendre qui étaient ces personnes qui fuyaient. En effet, au fond d’une pièce, ils découvrent un trou dans le plancher, un puits parfaitement éclairé qui s’enfonce profondément. À côté de la cavité, il y a un billet qui dit : « La solidarité entre les anarchistes ne se réduit pas à des paroles ».
Sept des évadés, de même que les constructeurs du tunnel, faisaient partie des groupes d’action anarchistes qui agissaient en Amérique du Sud dans les années 20 et 30. Recherchées et persécutées sans relâche par la police, ces individualités anarchistes menèrent une lutte contre l’État qui, si elle ne dura que quelques années, fut sans répit et se matérialisa dans des attentats, des expropriations, ou dans l’organisation d’évasions. Une lutte sans répit contre l’ennemi." [4e de couverture]
Sommaire:
- Introduction
- L'évasion
- Le lieu et le moment
- Miguel Arcángel Roscigna
- La révolution en période défavorable
- Les catalans
- Barcelone et Montevideo
- El Buen Trato
- L'arrestation
- L'État recouvre ses créances...
- Les anarchistes recouvrent les leurs
- Les divers destins |
Note de contenu : |
Photos de Antonio et Vincente Moretti, Pedro Boadas Rivas, Jaime Tadeo Peña, Agustín Garcia Capdevilla, Gino Gatti, Fernando Malvicini, Andrés Vázquez Paredes. |
Permalink : |
https://www.cira.ch/catalogue/index.php?lvl=notice_display&id=314976 |
Titre : |
Charbonnerie "El buen trato" : Charbon et charbon de bois, livraisons à domicile, commandes rapides et soignées |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Miguel Arcangelo ROSCIGNA (1891-1931) ; Gino GATTI |
Editeur : |
Bruxelles [Belgique] : Tumult Editions |
Année de publication : |
2018 |
Importance : |
69 p. |
Présentation : |
ill. |
Format : |
17 cm |
Note générale : |
Titre original: Carboneria "El Buen Trato", carbone di legna et pietra, consegne a domicilio, velocità e accuratezza nelle richieste (Italie: Indesiderabili, 2014). |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Italien (ita) |
Catégories : |
ARGENTINE:Histoire ; ILLÉGALISME ; PRISON ; URUGUAY:Histoire
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Résumé : |
"1930, Montevideo, capitale de l’Uruguay. En face de la prison de Punta Carretas, l’anarchiste Gino Gatti et sa famille décident d’ouvrir une charbonnerie : « El Buen Trato ». Les affaires vont pour le mieux. Cependant, en mars 1931, la famille Gatti décide de quitter Montevideo et de déménager en Argentine, pliant boutique après moins d’un an d’activité. Quelques jours après le départ de la famille italienne, les voisins de la dorénavant ex-charbonnerie remarquent des gens qui sortent en courant de l’établissement. Alarmés, ils avertissent la police qui arrive aussitôt et fait irruption sur les lieux. Une fois à l’intérieur, les agents mettent bien peu de temps à comprendre qui étaient ces personnes qui fuyaient. En effet, au fond d’une pièce, ils découvrent un trou dans le plancher, un puits parfaitement éclairé qui s’enfonce profondément. À côté de la cavité, il y a un billet qui dit : « La solidarité entre les anarchistes ne se réduit pas à des paroles ».
Sept des évadés, de même que les constructeurs du tunnel, faisaient partie des groupes d’action anarchistes qui agissaient en Amérique du Sud dans les années 20 et 30. Recherchées et persécutées sans relâche par la police, ces individualités anarchistes menèrent une lutte contre l’État qui, si elle ne dura que quelques années, fut sans répit et se matérialisa dans des attentats, des expropriations, ou dans l’organisation d’évasions. Une lutte sans répit contre l’ennemi." [4e de couverture]
Sommaire:
- Introduction
- L'évasion
- Le lieu et le moment
- Miguel Arcángel Roscigna
- La révolution en période défavorable
- Les catalans
- Barcelone et Montevideo
- El Buen Trato
- L'arrestation
- L'État recouvre ses créances...
- Les anarchistes recouvrent les leurs
- Les divers destins |
Note de contenu : |
Photos de Antonio et Vincente Moretti, Pedro Boadas Rivas, Jaime Tadeo Peña, Agustín Garcia Capdevilla, Gino Gatti, Fernando Malvicini, Andrés Vázquez Paredes. |
Permalink : |
https://www.cira.ch/catalogue/index.php?lvl=notice_display&id=314976 |
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