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Auteur C. GZAVIER |
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L'insurrectionnalisme qui vient? / C. GZAVIER ; Jacques WAJNSZTEJN / Lyon [France] : Temps critiques (2010)
L'insurrectionnalisme qui vient? [texte imprimé] / C. GZAVIER ; Jacques WAJNSZTEJN . - Lyon [France] : Temps critiques, 2010 . - 16 p. ; 21 cm.
N° 10. Les auteurs n'apparaissent pas explicitement sur le document mais sont mentionnés sur le site web de l'éditeur.
Langues : Français (fre)
Catégories : FRANCE ; INSURRECTION Résumé : - Pourquoi "l'insurrectionnalisme""
- Une analyse insuffisante des transformations du capital et de l'État
- L'apologie de la violence remplace le sujet révolutionnaire
- La fascination pour l'émeute et les révoltes de la plèbe
- La plèbe comme nouveau sujet?
- La "bande" comme groupe affinitaireEn ligne : https://www.tempscritiques.net/spip.php?article272 Permalink : https://www.cira.ch/catalogue/index.php?lvl=notice_display&id=315571
Titre : L'insurrectionnalisme qui vient? Type de document : texte imprimé Auteurs : C. GZAVIER ; Jacques WAJNSZTEJN Editeur : Lyon [France] : Temps critiques Année de publication : 2010 Importance : 16 p. Format : 21 cm Note générale : N° 10. Les auteurs n'apparaissent pas explicitement sur le document mais sont mentionnés sur le site web de l'éditeur. Langues : Français (fre) Catégories : FRANCE ; INSURRECTION Résumé : - Pourquoi "l'insurrectionnalisme""
- Une analyse insuffisante des transformations du capital et de l'État
- L'apologie de la violence remplace le sujet révolutionnaire
- La fascination pour l'émeute et les révoltes de la plèbe
- La plèbe comme nouveau sujet?
- La "bande" comme groupe affinitaireEn ligne : https://www.tempscritiques.net/spip.php?article272 Permalink : https://www.cira.ch/catalogue/index.php?lvl=notice_display&id=315571 La tentation insurrectionniste / Jacques WAJNSZTEJN / La Bussière [France] : Acratie (2012)
La tentation insurrectionniste [texte imprimé] / Jacques WAJNSZTEJN ; C. GZAVIER . - La Bussière [France] : Acratie, 2012 . - 104 p. + 21cm.
ISBN : 978-2-909899-38-1
Langues : Français (fre)
Catégories : INSURRECTION ; VIOLENCE Résumé : Si les tendances insurrectionnistes ne sont pas nouvelles dans l’histoire du mouvement révolutionnaire, notamment anarchiste, elles semblaient d'autant plus avoir disparu qu'elles n'avaient pas vraiment été réactivées par le dernier assaut révolutionnaire de la fin des années 60. Il faudra en fait attendre le milieu des années 70, et tout particulièrement le mouvement des luttes de 1977 en Italie, pour les voir s'épanouir puis être défaites en même temps que tout le mouvement subversif de l'époque. Aujourd'hui, dans une période qui paraît sans perspectives révolutionnaires, elles réapparaissent dans un tout autre contexte alors même que l'idée de révolution semble s'être perdue. Elles prennent donc plusieurs formes, de la plus modérée avec l'« insurrection des consciences » de l'Appel des appels, à des formes plus basiques comme dans certaines actions des indignados espagnols ou des Occupy Wall Street américains, ou encore des formes plus radicales quand elles restent inscrites dans une perspective anti-étatique. C'est sur ces dernières que porte cet ouvrage, parce qu'elles reposent des questions essentielles telles que celle du rapport à la violence et à la légalité, entre perspectives révolutionnaires et pratiques alternatives voire sécessionnistes. Mais en même temps elles n'échappent pas toujours à une pose idéologique « insurrectionnaliste », mélange d'activisme, de triomphalisme et d'absence de questionnement sur ses présupposés. Il s'ensuit des ambiguïtés sur la nature de l’État et une méconnaissance de ce qu'est le capital. (4eme de couv.)
L'insurrectionnalisme: nostalgie de l'insurrection ou nécéssité de notre temps ?
- Pourquoi l'insurrection ?
- Que recouvre le terme d'insurrectionnalisme ?
- La tentation insurrectionniste
Aux origines théoriques
- Os cangaceiros
- La bibliothèque des émeutes (1990-1995)
- Tiqqun: de présupposés théoriques éclectiques à une nouvelle forme de programme
- L'appel (2003)
Les limites théoriques de l'insurrectionnalisme
- Une analyse insuffisante des transformations de l’État
- De la théorie à la pratique: les mésaventures de l'activisme
Limites pratiques et organisationnelles de l'insurrectionnalisme
- L'apologie immédiatiste de la violence remplace le sujet révolutionnaire
- La violence exprime-t-elle encore un langage politique ?
- La fonction quasi démiurgique de l'émeute
L'affirmation d'un savoir-être révolutionnaire
- L'entre soi d'une subjectivité qui se croit libre
- Un volontarisme politique et éthique censée produire un état d'insoumission permanente
En guise de conclusion provisoireMention de responsabilité : J. Wajnsztejn, C. Gzavier Permalink : https://www.cira.ch/catalogue/index.php?lvl=notice_display&id=309789
Titre : La tentation insurrectionniste Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques WAJNSZTEJN ; C. GZAVIER Editeur : La Bussière [France] : Acratie Année de publication : 2012 Importance : 104 p. Accompagnement : 21cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-909899-38-1 Langues : Français (fre) Catégories : INSURRECTION ; VIOLENCE Résumé : Si les tendances insurrectionnistes ne sont pas nouvelles dans l’histoire du mouvement révolutionnaire, notamment anarchiste, elles semblaient d'autant plus avoir disparu qu'elles n'avaient pas vraiment été réactivées par le dernier assaut révolutionnaire de la fin des années 60. Il faudra en fait attendre le milieu des années 70, et tout particulièrement le mouvement des luttes de 1977 en Italie, pour les voir s'épanouir puis être défaites en même temps que tout le mouvement subversif de l'époque. Aujourd'hui, dans une période qui paraît sans perspectives révolutionnaires, elles réapparaissent dans un tout autre contexte alors même que l'idée de révolution semble s'être perdue. Elles prennent donc plusieurs formes, de la plus modérée avec l'« insurrection des consciences » de l'Appel des appels, à des formes plus basiques comme dans certaines actions des indignados espagnols ou des Occupy Wall Street américains, ou encore des formes plus radicales quand elles restent inscrites dans une perspective anti-étatique. C'est sur ces dernières que porte cet ouvrage, parce qu'elles reposent des questions essentielles telles que celle du rapport à la violence et à la légalité, entre perspectives révolutionnaires et pratiques alternatives voire sécessionnistes. Mais en même temps elles n'échappent pas toujours à une pose idéologique « insurrectionnaliste », mélange d'activisme, de triomphalisme et d'absence de questionnement sur ses présupposés. Il s'ensuit des ambiguïtés sur la nature de l’État et une méconnaissance de ce qu'est le capital. (4eme de couv.)
L'insurrectionnalisme: nostalgie de l'insurrection ou nécéssité de notre temps ?
- Pourquoi l'insurrection ?
- Que recouvre le terme d'insurrectionnalisme ?
- La tentation insurrectionniste
Aux origines théoriques
- Os cangaceiros
- La bibliothèque des émeutes (1990-1995)
- Tiqqun: de présupposés théoriques éclectiques à une nouvelle forme de programme
- L'appel (2003)
Les limites théoriques de l'insurrectionnalisme
- Une analyse insuffisante des transformations de l’État
- De la théorie à la pratique: les mésaventures de l'activisme
Limites pratiques et organisationnelles de l'insurrectionnalisme
- L'apologie immédiatiste de la violence remplace le sujet révolutionnaire
- La violence exprime-t-elle encore un langage politique ?
- La fonction quasi démiurgique de l'émeute
L'affirmation d'un savoir-être révolutionnaire
- L'entre soi d'une subjectivité qui se croit libre
- Un volontarisme politique et éthique censée produire un état d'insoumission permanente
En guise de conclusion provisoireMention de responsabilité : J. Wajnsztejn, C. Gzavier Permalink : https://www.cira.ch/catalogue/index.php?lvl=notice_display&id=309789 Exemplaires (1)
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