Mémoires d'un anarchiste : (1854-1920) [texte imprimé] / Jean GRAVE (1864-1939) ; Constantin MEUNIER (1831-1905) ; Émile HENRY (1872-1894) ; Théophile Alexandre STEINLEN (1859-1923) ; Henri LEBASQUE ; RAVACHOL (1858-1892) ; Camille PISSARRO (1830-1903) ; Élisée RECLUS (1830-1905) ; JEHANNET (1854-1929) ; Paul SIGNAC (1863-1935) ; Lev TOLSTOJ (1828-1910) ; Alfred DREYFUS (1859-1935) ; Pierre KROPOTKINE (1842-1921) ; Bernard NAUDIN (1876-1946) ; André GIRARD (1860-1942) . - Paris [France] : Éditions du Sextant, 2009 . - 541 p. ; 21 cm. - ( Mémoires) . ISBN : 978-2-84978-028-2 Langues : Français ( fre)
Catégories : |
FRANCE:Histoire:1880-1894 ; ILLÉGALISME ; INDIVIDUALISME ; LITTÉRATURE:Mémoires ; PRESSE:Histoire
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Résumé : |
"[...] Figure emblématique du « communisme libertaire », Jean Grave (1854-1939) arrive enfant à Paris de son Auvergne natale. Très vite, après la Commune de 1871, il devient anarchiste et se charge de diffuser ses idées tout en exerçant le métier de cordonnier puis typographe. En 1883, il part en Suisse diriger le journal Le Révolté, fondé par ses amis Kropotkine et Reclus, et qui deviendra Les Temps nouveaux. Il est condamné en 1894 à deux ans de prison pour avoir écrit La Société mourante et l’Anarchie. Dans ce récit émaillé de nombreuses anecdotes et lettres, on croise la route d’illustres écrivains et artistes comme Zola (c’est l’affaire Dreyfus), Anatole France, Pissaro, Signac; on assiste au foisonnement de journaux plus ou moins éphémères, à la naissance de courants divergents, comme l’anarchisme individualiste ou le syndicalisme révolutionnaire. Déçu par l’affaiblissement du mouvement après la guerre de 1914-1918, mais persuadé que les idées d’égalité, de liberté et de bien-être pour tous reviendront un jour en force, Jean Grave se retire du combat politique. Il meurt en 1939. Ses Mémoires constituent l’un des grands textes de l’histoire de l’anarchisme." (4e de couv.) |
Note de contenu : |
Index des noms, bibliographie, chronol., table détaillée.
Deux versions de ce texte existent sous des titres différents. Il s'agit de «Le mouvement anarchiste sous la Troisième République» (1930) et de «Quarante ans de propagande anarchiste» (1973). Le texte présenté ici est une nouvelle version d'après le manuscrit. |
Mention de responsabilité : |
Jean Grave |
Permalink : |
https://www.cira.ch/catalogue/index.php?lvl=notice_display&id=204671 |
Titre : |
Mémoires d'un anarchiste : (1854-1920) |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jean GRAVE (1864-1939) ; Constantin MEUNIER (1831-1905) ; Émile HENRY (1872-1894) ; Théophile Alexandre STEINLEN (1859-1923) ; Henri LEBASQUE ; RAVACHOL (1858-1892) ; Camille PISSARRO (1830-1903) ; Élisée RECLUS (1830-1905) ; JEHANNET (1854-1929) ; Paul SIGNAC (1863-1935) ; Lev TOLSTOJ (1828-1910) ; Alfred DREYFUS (1859-1935) ; Pierre KROPOTKINE (1842-1921) ; Bernard NAUDIN (1876-1946) ; André GIRARD (1860-1942) |
Editeur : |
Paris [France] : Éditions du Sextant |
Année de publication : |
2009 |
Collection : |
Mémoires |
Importance : |
541 p. |
Format : |
21 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-84978-028-2 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
FRANCE:Histoire:1880-1894 ; ILLÉGALISME ; INDIVIDUALISME ; LITTÉRATURE:Mémoires ; PRESSE:Histoire
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Résumé : |
"[...] Figure emblématique du « communisme libertaire », Jean Grave (1854-1939) arrive enfant à Paris de son Auvergne natale. Très vite, après la Commune de 1871, il devient anarchiste et se charge de diffuser ses idées tout en exerçant le métier de cordonnier puis typographe. En 1883, il part en Suisse diriger le journal Le Révolté, fondé par ses amis Kropotkine et Reclus, et qui deviendra Les Temps nouveaux. Il est condamné en 1894 à deux ans de prison pour avoir écrit La Société mourante et l’Anarchie. Dans ce récit émaillé de nombreuses anecdotes et lettres, on croise la route d’illustres écrivains et artistes comme Zola (c’est l’affaire Dreyfus), Anatole France, Pissaro, Signac; on assiste au foisonnement de journaux plus ou moins éphémères, à la naissance de courants divergents, comme l’anarchisme individualiste ou le syndicalisme révolutionnaire. Déçu par l’affaiblissement du mouvement après la guerre de 1914-1918, mais persuadé que les idées d’égalité, de liberté et de bien-être pour tous reviendront un jour en force, Jean Grave se retire du combat politique. Il meurt en 1939. Ses Mémoires constituent l’un des grands textes de l’histoire de l’anarchisme." (4e de couv.) |
Note de contenu : |
Index des noms, bibliographie, chronol., table détaillée.
Deux versions de ce texte existent sous des titres différents. Il s'agit de «Le mouvement anarchiste sous la Troisième République» (1930) et de «Quarante ans de propagande anarchiste» (1973). Le texte présenté ici est une nouvelle version d'après le manuscrit. |
Mention de responsabilité : |
Jean Grave |
Permalink : |
https://www.cira.ch/catalogue/index.php?lvl=notice_display&id=204671 |
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