Enquête sur la justice politique : Et son influence sur la morale et le bonheur d'aujourd'hui [texte imprimé] / William GODWIN (1756-1836) ; Denise BERTHAUD ; Alain THÉVENET ; Michel ONFRAY . - Lyon [France] : Atelier de création libertaire (ACL), 2005 . - 619 p. ; 21 cm. ISBN : 978-2-35104-007-2 trad. Denise Berthaud, Alain Thévenet. Langues : Français ( fre) Langues originales : Anglais ( eng)
Catégories : |
ÉTHIQUE ; JUSTICE ; POLITIQUE ; PRÉCURSEURS de l'anarchisme
|
Résumé : |
- Avant-propos / Michel Onfray
- Introduction / Alain Thévenet
- Quelques remarques de l'angliciste sur le style et le ton / Denise Berthaud
I. Du pouvoir de l'homme en ce qui concerne sa capacité sociale
Livre II. Principes de la société
Livre III. Principes du gouvernement
Livre IV. Des effets de l'opinion parmi les sociétés et les individus
Livre V. Des pouvoirs législatif et exécutif
Livre VI. De l'opinion considérée comme sujet de l'institution publique
Livre VII. Des délits et des châtiments
Livre VIII. De la propriété
"L’Enquête sur la Justice politique, dont la première édition paraît en 1793, est dans la droite ligne de la philosophie des Lumières dont, cependant, William Godwin (1756-1836) tire des conséquences toutes autres que son contemporain Kant. Il affirme que le but de toute société est de contribuer au bonheur de chacun, c’est-à-dire à la liberté et à la justice, tant politiques qu’économiques. Selon lui, le gouvernement aussi bien que la répartition inégale de la propriété s’opposent, par leur nature même, à ce but, qui ne peut donc être atteint que par les échanges spontanés entre les individus, guidés par une raison dont les cheminements sont divers mais qui est, fondamentalement, universellement partagée.Rejetée à la fois par les conservateurs et les Jacobins anglais, son œuvre tombe dans un oubli relatif, favorisé par l’essor du marxisme. Aujourd’hui, on veut nous faire croire qu’étatisme et libre marché sont des formes indépassables de la société, les injustices qu’ils secrètent n’étant que des épiphénomènes malheureux. Il nous paraît essentiel de publier, pour la première fois en langue française, un texte dans lequel l’auteur, dénonçant les injustices, ouvre des pistes vers des formes originales de pensée et de structuration sociales. On trouvera dans ce texte la première tentative de mise en forme d’une philosophie politique anarchiste." [4e de couv.] |
Note de contenu : |
Bibliogr. |
Mention de responsabilité : |
William Godwin |
Permalink : |
https://www.cira.ch/catalogue/index.php?lvl=notice_display&id=16284 |
Titre : |
Enquête sur la justice politique : Et son influence sur la morale et le bonheur d'aujourd'hui |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
William GODWIN (1756-1836) ; Denise BERTHAUD ; Alain THÉVENET ; Michel ONFRAY |
Editeur : |
Lyon [France] : Atelier de création libertaire (ACL) |
Année de publication : |
2005 |
Importance : |
619 p. |
Format : |
21 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-35104-007-2 |
Note générale : |
trad. Denise Berthaud, Alain Thévenet. |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) |
Catégories : |
ÉTHIQUE ; JUSTICE ; POLITIQUE ; PRÉCURSEURS de l'anarchisme
|
Résumé : |
- Avant-propos / Michel Onfray
- Introduction / Alain Thévenet
- Quelques remarques de l'angliciste sur le style et le ton / Denise Berthaud
I. Du pouvoir de l'homme en ce qui concerne sa capacité sociale
Livre II. Principes de la société
Livre III. Principes du gouvernement
Livre IV. Des effets de l'opinion parmi les sociétés et les individus
Livre V. Des pouvoirs législatif et exécutif
Livre VI. De l'opinion considérée comme sujet de l'institution publique
Livre VII. Des délits et des châtiments
Livre VIII. De la propriété
"L’Enquête sur la Justice politique, dont la première édition paraît en 1793, est dans la droite ligne de la philosophie des Lumières dont, cependant, William Godwin (1756-1836) tire des conséquences toutes autres que son contemporain Kant. Il affirme que le but de toute société est de contribuer au bonheur de chacun, c’est-à-dire à la liberté et à la justice, tant politiques qu’économiques. Selon lui, le gouvernement aussi bien que la répartition inégale de la propriété s’opposent, par leur nature même, à ce but, qui ne peut donc être atteint que par les échanges spontanés entre les individus, guidés par une raison dont les cheminements sont divers mais qui est, fondamentalement, universellement partagée.Rejetée à la fois par les conservateurs et les Jacobins anglais, son œuvre tombe dans un oubli relatif, favorisé par l’essor du marxisme. Aujourd’hui, on veut nous faire croire qu’étatisme et libre marché sont des formes indépassables de la société, les injustices qu’ils secrètent n’étant que des épiphénomènes malheureux. Il nous paraît essentiel de publier, pour la première fois en langue française, un texte dans lequel l’auteur, dénonçant les injustices, ouvre des pistes vers des formes originales de pensée et de structuration sociales. On trouvera dans ce texte la première tentative de mise en forme d’une philosophie politique anarchiste." [4e de couv.] |
Note de contenu : |
Bibliogr. |
Mention de responsabilité : |
William Godwin |
Permalink : |
https://www.cira.ch/catalogue/index.php?lvl=notice_display&id=16284 |
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